Comment décrire, sans reprendre des mots célèbres, cette impatience, cette fébrilité qui nous gagnent lorsque nous grimpons ces dernières marches, que tu sens mon regard qui glisse déjà, polisson, explorateur, inquisiteur.
Tu joues de mon désir, tu l'exacerbes, tu lis dans mes yeux ce feu prêt à nous dévorer, tu me provoques, tu m'allumes, tu regardes avec amusement cette bosse qui gonfle impudiquement mon pantalon.
Cela ne te suffit pas ? La dernière marche accueille ton cul impatient, tu ris de ma tête ! Tu t'ouvres, obscène, le con offert, gonflé, humide.
Tu sais que quelqu'un peut monter à tout instant ou sortir d'une chambre, mais tu n'en as cure, tu veux me transformer en bouc lubrique.
44... Un grand lit à baldaquin nous attend.
Tu veux jouer ?
Chacun son tour...
A toi de gémir, de te trémousser, de ronger ton frein, de me supplier de te prendre.
Pour l'instant, obéis simplement : mets-toi à quatre pattes, que je trousse cette robe sans ménagement, que je dévoile ton cul blanc, ta fente humide.
Tu sens mon regard, comme il te fouille déjà ?
Oui, ouvre-toi davantage, creuse toi. Là, tu sens mon souffle chaud sur tes babines encore sages ?
Tu sens ma langue qui les effleure, retenant son envie ?
Ma bouche les veut, les happe, les dévore comme une proie consentante, les transforme en instrument de plaisir, les ouvre pour l'assaut à venir...
Tu joues de mon désir, tu l'exacerbes, tu lis dans mes yeux ce feu prêt à nous dévorer, tu me provoques, tu m'allumes, tu regardes avec amusement cette bosse qui gonfle impudiquement mon pantalon.
Cela ne te suffit pas ? La dernière marche accueille ton cul impatient, tu ris de ma tête ! Tu t'ouvres, obscène, le con offert, gonflé, humide.
Tu sais que quelqu'un peut monter à tout instant ou sortir d'une chambre, mais tu n'en as cure, tu veux me transformer en bouc lubrique.
44... Un grand lit à baldaquin nous attend.
Tu veux jouer ?
Chacun son tour...
A toi de gémir, de te trémousser, de ronger ton frein, de me supplier de te prendre.
Pour l'instant, obéis simplement : mets-toi à quatre pattes, que je trousse cette robe sans ménagement, que je dévoile ton cul blanc, ta fente humide.
Tu sens mon regard, comme il te fouille déjà ?
Oui, ouvre-toi davantage, creuse toi. Là, tu sens mon souffle chaud sur tes babines encore sages ?
Tu sens ma langue qui les effleure, retenant son envie ?
Ma bouche les veut, les happe, les dévore comme une proie consentante, les transforme en instrument de plaisir, les ouvre pour l'assaut à venir...
Votre complicité ne fait pas de doute :-).
RépondreSupprimerSultan je n'arrive pas à répondre aux messages depuis peu sur gmail mon manque d'expérience se fait terriblement sentir...