Comme chaque dimanche matin, j'étais parti tôt à ma salle de sport, te laissant assoupie, et préférant le calme pour mon heure et demi de musculation.
Cela faisait plus d'une heure que j'avais commencé, quand le claquement sec de la porte d'entrée attira à peine mon attention, tout à l'effort de lever régulièrement les masses de fonte.
C'est à peine si je tournais la tête, et la surprise fut grande quand je découvris que c'était toi qui était entrée, et que nous étions seuls dans la salle de sport. Tu avais encore bien calculé ton coup, car je lus tout de suite dans tes yeux brillants que ma séance allait vite prendre une tournure inhabituelle !
Sans attendre, sans un mot, tu t'es accroupie entre mes jambes, ta main est venue se plaquer sur mon short, et tes doigts ont commencé leur ouvrage, flattant mon sexe à travers le tissu, l'éveillant avec assurance et un brin de perversité.
Je tentais bien d'ignorer ton manège, craignant que la porte ne s'ouvre à nouveau et qu'on ne nous suprenne ainsi, mais déjà, tu délaissais un instant mon short, et te redressant, tu saisis mon maillot à deux mains et le fis glisser avec autorité par dessus ma tête.
Puis tu t'attaquas à mon short et mon boxer, leur réservant le même sort, m'intimant l'ordre de reprendre ma position, cuisses écartées, bras relevés et muscles bandés.
Tu t'écartas un instant, satisfaite de ton oeuvre, contemplant mon corps nu en sueur, offert avec indécence en ce lieu, et te jetas bien vite sur ta proie, engloutissant d'une traite ma queue au fond de ta gorge, et malmenant sans ménagement la fine peau veinée et mes boules glabres et tendues.
Sans doute satisfaite, et m'ordonnant de rester ainsi écartelé, tu te redressas, me tournant le dos, et prenant appuis sur les lourds montants, tu n'eus pas de mal à m'enjamber et à pointer mon dard à l'entrée de ton puits, toujours prêt, t'immobilisant un instant.
Puis tu te laissas tomber presque brutalement, t'empalant d'une traite, et m'arrachant un râle qui en disait long sur mon impatience. Inutile de préciser que j'avais renoncé à actionner cette machine, tout à la ronde de ton cul qui tanguait maintenant à un rythme soutenu, se levant pour retomber dans une danse effrenée qui eut bientôt raison de nous deux, et nos cris se mêlèrent comme nos sèves, jets chauds et épais que ton ventre recueilli avec avidité...
Cela faisait plus d'une heure que j'avais commencé, quand le claquement sec de la porte d'entrée attira à peine mon attention, tout à l'effort de lever régulièrement les masses de fonte.
C'est à peine si je tournais la tête, et la surprise fut grande quand je découvris que c'était toi qui était entrée, et que nous étions seuls dans la salle de sport. Tu avais encore bien calculé ton coup, car je lus tout de suite dans tes yeux brillants que ma séance allait vite prendre une tournure inhabituelle !
Sans attendre, sans un mot, tu t'es accroupie entre mes jambes, ta main est venue se plaquer sur mon short, et tes doigts ont commencé leur ouvrage, flattant mon sexe à travers le tissu, l'éveillant avec assurance et un brin de perversité.
Je tentais bien d'ignorer ton manège, craignant que la porte ne s'ouvre à nouveau et qu'on ne nous suprenne ainsi, mais déjà, tu délaissais un instant mon short, et te redressant, tu saisis mon maillot à deux mains et le fis glisser avec autorité par dessus ma tête.
Puis tu t'attaquas à mon short et mon boxer, leur réservant le même sort, m'intimant l'ordre de reprendre ma position, cuisses écartées, bras relevés et muscles bandés.
Tu t'écartas un instant, satisfaite de ton oeuvre, contemplant mon corps nu en sueur, offert avec indécence en ce lieu, et te jetas bien vite sur ta proie, engloutissant d'une traite ma queue au fond de ta gorge, et malmenant sans ménagement la fine peau veinée et mes boules glabres et tendues.
Sans doute satisfaite, et m'ordonnant de rester ainsi écartelé, tu te redressas, me tournant le dos, et prenant appuis sur les lourds montants, tu n'eus pas de mal à m'enjamber et à pointer mon dard à l'entrée de ton puits, toujours prêt, t'immobilisant un instant.
Puis tu te laissas tomber presque brutalement, t'empalant d'une traite, et m'arrachant un râle qui en disait long sur mon impatience. Inutile de préciser que j'avais renoncé à actionner cette machine, tout à la ronde de ton cul qui tanguait maintenant à un rythme soutenu, se levant pour retomber dans une danse effrenée qui eut bientôt raison de nous deux, et nos cris se mêlèrent comme nos sèves, jets chauds et épais que ton ventre recueilli avec avidité...
tu as une salle de sport pour toi tout seul ?!
RépondreSupprimerpffff ben tu vois, c'est pas malin, n'importe qui vient te déranger pendant que tu t'entraînes ... ;-)
J'adhère totalement au concept du sport tel que Sultane l'envisage lol!
RépondreSupprimerPlutôt que de s'harasser à soulever de la fonte... il est d'autres manières bien plus agréables de muscler ses fessiers et abdos non ???
En tous les cas, ce n'est pas nous qui prétendrons le contraire .... vous deux non plus me semble t -il!
Baisers musclés
Elise
E&M