Je ne sais comment l'idée avait germé, qui de nous deux avait d'abord imaginé ce scénario, tant il est sur que nous étions l'un comme l'autre autant excité de réaliser ce fantasme.
Tu connais si bien mon emploi du temps que cette conférence téléphonique hebdomadaire avec mon équipe s'était facilement intégrée à nos jeux, mais nous avions tous deux envie de franchir le pas vers le réel.
Décision vite prise de rentrer plus tôt ce jour là, et de prendre cette conférence téléphonique sur mon portable.
Tu connais si bien mon emploi du temps que cette conférence téléphonique hebdomadaire avec mon équipe s'était facilement intégrée à nos jeux, mais nous avions tous deux envie de franchir le pas vers le réel.
Décision vite prise de rentrer plus tôt ce jour là, et de prendre cette conférence téléphonique sur mon portable.
Tu ne fus pas longue à entrer en scène avec une application diabolique, te jetant avec gourmandise sur mes couilles lisses et gonflées, vite englouties.
J'avais mis le haut-parleur, afin que tu suives cette réunion, et les échanges très sérieux que tu entendais n'enlevaient rien à l'application avec laquelle tu embouchais maintenant ma queue congestionnée, happée jusqu'à la garde.
Heureusement, j'en profitais pour passer la parole à mes interlocuteurs, écartant le combiné pour que mes gémissements pourtant étouffés n'attirent pas leur attention.
C'était sans te connaître, car bientôt, tu m'enjambas pour guider mon pieu dans ton écrin ruisselant, début d'une folle cavalcade.
Nous ne saurons jamais si l'un ou l'autre de mes interlocuteurs(trices) eut le moindre doute sur notre saine occupation lorsque mon miel jaillit en flots chauds et épais et que nos cris étouffés se mêlèrent... Mais mes prochaines réunions ne seront jamais plus tout à fait les mêmes...
J'avais mis le haut-parleur, afin que tu suives cette réunion, et les échanges très sérieux que tu entendais n'enlevaient rien à l'application avec laquelle tu embouchais maintenant ma queue congestionnée, happée jusqu'à la garde.
Heureusement, j'en profitais pour passer la parole à mes interlocuteurs, écartant le combiné pour que mes gémissements pourtant étouffés n'attirent pas leur attention.
C'était sans te connaître, car bientôt, tu m'enjambas pour guider mon pieu dans ton écrin ruisselant, début d'une folle cavalcade.
Nous ne saurons jamais si l'un ou l'autre de mes interlocuteurs(trices) eut le moindre doute sur notre saine occupation lorsque mon miel jaillit en flots chauds et épais et que nos cris étouffés se mêlèrent... Mais mes prochaines réunions ne seront jamais plus tout à fait les mêmes...
Mais pourquoi pas...cela m'amuserai aussi bcp de faire ce genre de chose. Comme j'adore quand Choup me caresse alors que je suis au tél avec ma mère et que je dois retenir mes gémissements !
RépondreSupprimerbisoux tout doux pour le week end
Choupa...tjrs anonyme ;-))
Les collègues n'ont pas du être dupes la webcam à du terriblement leurs manquer :-)
RépondreSupprimerEn parcourant le blog deviner la personnalité de l'auteur et de sa muse est très facile :-).
Les violettes vont bien avec la personnalité de sultan :-)
dire que parmi cette douzaine de correspondants il y a peut être de vos lecteurs ..
RépondreSupprimer;D
@ Vallis : Hé oui, cela ajoute du piment, car pour venir sur ce blog, il faut avoir une certaine liberté de pensées !
RépondreSupprimerEt puis, le travail dans la joie, c'est le meilleur des facteurs de motivation...