mercredi 4 mars 2009

Les Anneaux de Sultane

Une Sultane sans anneaux ne seraient pas tout à fait sultane, même lorsqu'elle se mêle au commun des mortels dans cette activité peu ludique que l'on appelle travail...

Rien de tel pour commencer la journée que d'aller saluer ses collègues en gardant caché ce symbole qui nous rapproche et nous attache, anneaux enchainés dans nos chairs...

Message envoyé à 08:54 : Je t'imagine avec ces anneaux qui pincent tes lèvres gonflées, cette perle qui danse entre tes cuisses, et te rappellent que ton Sultan te veut à chaque instant, ouverte, humide, le con prêt à accueillir mon pieu. N'oublie pas d'aller dire bjr à tes collègues ! Je t'aime.
Message lu à 08:58 : Ils se balancent en toute liberté, coquins et me disent combien je t'aime...

Message envoyé à 09:15 : Je les vois, brillants, étirant tes lèvres, te rappelant à chaque instant ce puits ouvert qui n'attend que d'être comblé, limé, arrosé... Tu vas aller les enlever maintenant et revenir en les tenant à la main.

Message lu à 09:24 : Mes lèvres garderont une trace de ces jolis bijoux...je t'aime mon coeur chéri...

Message envoyé à 09:28 : Ce n'est pas la 1ère fois que tu porteras mes marques, sur tes lèvres ou sur ton cul... et tu en auras d'autres, bientôt...

4 commentaires:

  1. c'est très joli ! ça a l'air de se poser simplement qui plus est, non ?

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  2. ah enfin, quel plaisir de votre retour !
    Pourrais je avoir une pitite photo pour mettre votre blog en lien ?

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  3. Je me pose la question ? Est-ce des anneaux qui se clippent ou est-ce qu'il faut faire des trous ?
    Rien que d'imaginer le piercing là...je tremble déjà.
    bisoux curieux
    Choupa

    je me mets sous anonyme car je ne comprends pas comment faire d'autre. Peu importe, du moment que vous recevez mon message ;-))

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  4. Internet c'est, dit-on, purement du virtuel... Mais, à force de se croiser et recroiser ici ou là, de se lire et relire, de participer aux mêmes combats, on finit par avoir le sentiment de se connaître depuis des dizaines d'années...

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