vendredi 16 janvier 2009

Déjeuner d'Affaires


Pensez à éteindre votre portable lorsque vous avez un déjeuner d'affaires très sérieux, et surtout, ne le dites pas à votre tendre amie. Elle serait tentée d'en profiter en vous envoyant quelques sms à haut risque au moment crucial de votre repas où vous avez cruellement besoin de tous vos moyens (intellectuels).

Message lu à 12:46 Envie de me cacher sous ta table, de venir chercher ds ton pantalon, de la prendre délicatement entre mes doipts avt de la flatter de ma langue et de l'engloutir voracement au fond de ma bouche chaude et affamée. Tu sens comme je suis gourmande, comme je te pompes bien mon amour...

Message lu à 12:49 Tu bandes mon coeur chéri, tu as chaud ? Tu écartes tes cuisses que je prennes tes couilles ds ma main, que je les presse... Je sens ta queue énorme qui coulisse ds ma bouche étroite, je la sors un peu pour sucer ton gland rond et aspirer ta goutte de rosée... Je tiens plus, je veux ton miel épais qui jaillisse, m'en barbouiller le visage et crier a la terre que j'aime mon homme.

Message lu à 13:01 Je suis folle de toi mon amour chéri...

Message envoyé à 13:08 Tu es terrible

Message lu à 13:33 Terrible...ment amoureuse...

vendredi 9 janvier 2009

Sport en Salle


Je vous vois venir, vous confondez "sport en salle" et "sport en chambre"... Allons, est-ce bien raisonnable !
Et bien oui, et vous avez totalement raison, et Sultane nous en apportera une fois encore la démonstration avec son légendaire sens de la découverte et du partage...

Acte 1 : La préparation du scénario...

Habituelle discussion du matin sur la route... Ha, les oreillettes bluetooth, quel progrès ! Récapitulatif des activités de la journée. Tiens, y a sport aujourd'hui pour Sultane... (voyons, voyons... cogitations des neurones de Sultan). Première décision : Sultane emportera au travail ses fidèles boules de Geisha...
Message envoyé à 09:15 : J'hésite.. mais te savoir à ton cours de gym avec petites boules qui dansent ds ton con à chaque mouvement m'excite ! Je crains que le bruit ne s'entende.. Je te dirai. J'espère que tu les a bien ds ton sac à malice ?
Message lu à 09:18 : Cachées au fond de mon sac... Je t'aime mon petit chéri..
Message envoyé à 10:54 : Je ne vais pas résister à la tentation ! Bien sur, tu peux renoncer.. Et tu pourras d'éclipser pour les retirer si c trop bruyant et que ça intrigue tes copines de sport... Je sais, je suis un affreux pervers ! Et je veux un compte rendu...
Message lu à 10:57 : Tu l'auras mon amour chéri...
Message envoyé à : 11:12 : Je monte.. Je vais imaginer ton cul qui tangue en musique et ces boules qui massent ton écrin trempé. Je rêverais de te prendre dans le vestiaire dans l'odeur de sueur et de mouille mêlés, de te besogner en écartant à peine ton justaucorps pour que ma queue plonge ds ta chatte. Je t'aime, et je bande !
Message lu à 11:19 : Rhoo... Je suis très motivée pour mon cours, mon con m'envoie déja des signaux, il se fait souple, il baille et se gonfle, ij a envie de ta belle queue fière... Bisous coquins mon petit coeur d'amour.

Acte 2 : L'acte principal...
Une salle de sport, une bande de copines qui entretiennent leur forme(s) par des cours de gym réguliers, à l'heure où l'on s'abandonne davantage à la chair (le déjeuner, quoi !)
Message lu à 13:53 : Epique, folklo, j'ai du sortir du cours, te raconterai de vive voix tu vas etre mdr. Je rentre en réunion, je t'aime.
Message envoyé à 14:40 : J'ai hate de savoir ! Tu es terrible.

Acte 3 : Le récit...
Ta réunion terminée, tu n'eus de cesse que de me raconter cette aventure haute en couleur.
Grosse erreur, tu avais eu l'imprudence de préférer un jogging plutôt ample à un justaucorps, et lorsque le professeur vous demanda pour l'échauffement de courir autour de la salle, et compte tenu de ton con mielleux à souhait, tu compris vite que cette course entraînait inexorablement ces coquines boules vers le sol, lorsqu'une d'entre-elles échappa soudain, au point que tu du discrètement la remettre à sa place !!

Le coup fatal fut porté lorsque la demande de sauter sur place claqua comme une condamnation, et que ces boules coquines décidèrent alors de quitter définitivement leur doux écrin, te forçant à un retour précipité vers le vestiaire pour éviter qu'elles ne roulent bruyament au milieu de la salle de sport !
Comble de l'ironie, après les avoir enlevées dans le vestiaire, tu dû revenir en les tenant à la main pour les enfouir prestement dans ton sac de sport qui était resté dans la salle...

Je dois dire que nous avons beaucoup ri de cette aventure, preuve s'il en est que l'imagination triomphe de tout ! Je t'aime, ma chérie.