Caresser ton doux nonobstant
Et contempler les douces choses
Que cache ton dorénavant.
Ma langue, sur tes deux naguères,
Batifolerait gentiment
Et prendrait pour point de repère
Le bas de ton absolument.
Dégainant alors mon possible
Pour l’introduire en ton surplus
Je mettrais en plein dans la cible
De ton Quand bien- même ingénu.
Mes deux malgré tout en cadence
T’inspireraient des cris de paon
Et feraient sur ta quintescence
Le double écho du nom de Pan…
Maurice DEKOBRA, vers 1921
Délicieux poème... Promenade sur votre pblog pleine de charme(s) ! Bises douces
RépondreSupprimerEffectivement un poème délicieux qui allie fort subtilement l'allégorie mutine et l'envolée lyrique : u,e parfaite réussite !
RépondreSupprimerPour sûr: si Maurice Dekobra avait eu le bonheur de croiser Sultane,il aurait rêvé de "trousser" ce poème en son honneur ... ( et pas que le poème au demeurant lol!)
Baisers tendres à vous deux
E&M