Tailler une pipe... Quelle vilaine expression ! Quoique, en y regardant mieux, il existe une certaine poésie dans l'origine de celle-ci !
"Faire une pipe" signifiait simplement "rouler une cigarette", à l'époque où celles-ci étaient uniquement confectionnées avec du tabac à rouler et du papier fin.
Le geste manuel des femmes créant la cigarette avec dextérité sous leurs doigts, allié au léchage du papier pour que celui-ci soit parfaitement enveloppant, a enflammé l'imagination des hommes... et leur vocabulaire.
Finalement, tu ne démérites pas quand je me livre sans retenue à tes doigts experts et à ta langue lutine. Hummm, tu joues de mon impatience, alternant petits coups de langue timides, et voracité lorsque tu me prends jusqu'à la racine...
Tu sais combien j'aime voir tes joues se creuser, pompant sans vergogne ma tige cramoisie, puis abandonnant à dessein cette infernale sucion lorsque tu sais la fin proche, pour revenir presque timidement sur le gland à la peau fine et tendue.
Seul dilemne qui t'habite : Me mener au sommet pour que jaillisse mon miel épais sur ta langue, miel que tu savoures avec gourmandise, ou préférer en tapisser ton ventre et le mêler au tien...
J'avoue être incapable d'afficher une préférence, tant tu excelles dans les deux issues. Une seule chose est vraie : tu me combles sans limite et chaque instant est une voute étoilée qui brille dans mes yeux et me rend heureux chaque jour...
"Faire une pipe" signifiait simplement "rouler une cigarette", à l'époque où celles-ci étaient uniquement confectionnées avec du tabac à rouler et du papier fin.
Le geste manuel des femmes créant la cigarette avec dextérité sous leurs doigts, allié au léchage du papier pour que celui-ci soit parfaitement enveloppant, a enflammé l'imagination des hommes... et leur vocabulaire.
Finalement, tu ne démérites pas quand je me livre sans retenue à tes doigts experts et à ta langue lutine. Hummm, tu joues de mon impatience, alternant petits coups de langue timides, et voracité lorsque tu me prends jusqu'à la racine...
Tu sais combien j'aime voir tes joues se creuser, pompant sans vergogne ma tige cramoisie, puis abandonnant à dessein cette infernale sucion lorsque tu sais la fin proche, pour revenir presque timidement sur le gland à la peau fine et tendue.
Seul dilemne qui t'habite : Me mener au sommet pour que jaillisse mon miel épais sur ta langue, miel que tu savoures avec gourmandise, ou préférer en tapisser ton ventre et le mêler au tien...
J'avoue être incapable d'afficher une préférence, tant tu excelles dans les deux issues. Une seule chose est vraie : tu me combles sans limite et chaque instant est une voute étoilée qui brille dans mes yeux et me rend heureux chaque jour...
C'est vrai que c'est moche cette expression " tailler une pipe". Moi je lui dis rien, je me mets à l'ouvrage et j'avoue adorer cela ;-)) et lui aussi..
RépondreSupprimerbisoux coquins
Choupa
Tiens tiens, pourquoi ne suis-je pas surprise de voir que tu aimes les doigts et la bouche magique de Sultane ;-)
RépondreSupprimerJe ne doutais pas un moment du fait que Sultane devait exceller dans ce domaine.
Je vous fais de tendres baisers
Ps : j'ai été ravie que tu prennes le temps de venir taper à ma porte et de poser ta plume