J’aime ce rituel auquel tu te plies de bonne grâce, comme un prélude incontournable à nos nuits d’ivresse, et qui ravit mes sens et te laisse toujours prête à toutes les étreintes. Nous en rions, lorsqu’évoquant cette incontournable “inspection”, un mot suffit à ce que tu t’accroupisses sur le bord du lit, ou sur un Voltaire aux bras accueillants. Quel autre mot que cul pourrait venir à l’esprit.
C’est bien un cul que tu m’offres, creusée, cambrée. Un cul généreux aux globes pâles que soulignent les premières traces de bronzage cultivées avec soin, une croupe fendue sur ce sillon encore sage. Tu soupires car tu sais que je te détaille, que mes yeux gravent chaque pli de tes chairs offertes. J’admire ce sillon charnu, pose mes doigts à la jointure de tes cuisses, appuyant lentement pour décoller tes grandes lèvres, et qu’elles dévoilent comme à regret tes petites lèvres encore fripées, babines bistres qui cachent encore ton puits.
Une pression un peu plus forte suffit à les ouvrir enfin, à dévoiler leur face rosée, à épanouir la fleur carnivore de ta vulve humide. Tu halètes déjà, en écho au sang qui gonfle inexorablement ces chairs intimes. Je te décris cette métamorphose, tes petites lèvres qui s’étirent entre pouce et index, grossissent, deviennent des nymphes rouges et brillantes.
Ton con palpite comme une bouche gourmande, appelle ma bouche, mes doigts. Tu sens mon souffle, tu sais mes narines frémissantes sous les effluves enivrantes de ton miel qui coule déjà de ton puits et tapisse chaque repli de ton con.
Ce parfum me grise, tu le sais, tu te tends pour m’inviter à cueillir ce nectar. Ma langue plonge enfin, pointue, dure, et se perd dans les plis de ta vulve incarnat. Je lèche, suce, aspire, mordille, embouche, lape chaque perle de miel. Du bout de la langue, j’écarte tes petites lèvres maintenant lissées et gonflées, les dispose comme deux pétales charnus et arrondis qui bornent l’entrée de ton vagin entre-ouvert. Ainsi étirées, ton bouton se dévoile enfin, laissant poindre son capuchon à la commissure des lèvres, invite à l’effleurer du bout de ma langue.
Le contact provoque en toi comme une décharge électrique, un spasme qui projette ta croupe vers ma bouche. Je veux t’ouvrir davantage, me saouler de ta mouille, t’amener plus près encore de l’orgasme. Mon index glisse vers ton anneau rouge, dessine des petits cercles pour l’ouvrir doucement, puis satisfait du résultat, plonge soudain avec ses frères jusqu’à la dernière phalange.
Tu te cabres dans un cri, puis t’abandonnes à leur présence, les acceptes en te cambrant davantage, m’offrant le velours de tes parois gonflées. Ils dansent maintenant lentement, découvrant à l’aveugle les contours de ta grotte chaude et humide qui exhale ce parfum entêtant, pendant que ma langue continue son manège sur ton clitoris maintenant fier et pointant avec insolence, le branlant comme une petite queue.
Je sais que tu réclames maintenant ton dû, que tu veux que je me fonde en toi, que nos corps ne fassent qu’un. Comme moi, tu réclames mon miel, ma sève d’homme. Tu gardes tes dernières forces pour happer mon sexe dur au fond de ton ventre, le serrer entre tes parois gonflées de sang. Tu veux sentir les flots chauds et épais frapper tes chairs à vif.
Je retire lentement mes doigts, les lèche avec délectation avant de saisir sans ménagement tes hanches pleines. Tu gémis, tes reins s’immobilisent, m’offrant ton sexe béant, guettant l'instant fugace où tu sentiras le contact de mon gland rond et gonflé, et nous plongeons ensemble dans une danse de l'amour, qui nous conduit ensemble au confins du plaisir. Lorsque nous revenons de cette contrée lointaine, la chaleur des flammes qui dansent dans la cheminée redonne vie à nos corps anéantis, heureux, amoureux, unis...
C’est bien un cul que tu m’offres, creusée, cambrée. Un cul généreux aux globes pâles que soulignent les premières traces de bronzage cultivées avec soin, une croupe fendue sur ce sillon encore sage. Tu soupires car tu sais que je te détaille, que mes yeux gravent chaque pli de tes chairs offertes. J’admire ce sillon charnu, pose mes doigts à la jointure de tes cuisses, appuyant lentement pour décoller tes grandes lèvres, et qu’elles dévoilent comme à regret tes petites lèvres encore fripées, babines bistres qui cachent encore ton puits.
Une pression un peu plus forte suffit à les ouvrir enfin, à dévoiler leur face rosée, à épanouir la fleur carnivore de ta vulve humide. Tu halètes déjà, en écho au sang qui gonfle inexorablement ces chairs intimes. Je te décris cette métamorphose, tes petites lèvres qui s’étirent entre pouce et index, grossissent, deviennent des nymphes rouges et brillantes.
Ton con palpite comme une bouche gourmande, appelle ma bouche, mes doigts. Tu sens mon souffle, tu sais mes narines frémissantes sous les effluves enivrantes de ton miel qui coule déjà de ton puits et tapisse chaque repli de ton con.
Ce parfum me grise, tu le sais, tu te tends pour m’inviter à cueillir ce nectar. Ma langue plonge enfin, pointue, dure, et se perd dans les plis de ta vulve incarnat. Je lèche, suce, aspire, mordille, embouche, lape chaque perle de miel. Du bout de la langue, j’écarte tes petites lèvres maintenant lissées et gonflées, les dispose comme deux pétales charnus et arrondis qui bornent l’entrée de ton vagin entre-ouvert. Ainsi étirées, ton bouton se dévoile enfin, laissant poindre son capuchon à la commissure des lèvres, invite à l’effleurer du bout de ma langue.
Le contact provoque en toi comme une décharge électrique, un spasme qui projette ta croupe vers ma bouche. Je veux t’ouvrir davantage, me saouler de ta mouille, t’amener plus près encore de l’orgasme. Mon index glisse vers ton anneau rouge, dessine des petits cercles pour l’ouvrir doucement, puis satisfait du résultat, plonge soudain avec ses frères jusqu’à la dernière phalange.
Tu te cabres dans un cri, puis t’abandonnes à leur présence, les acceptes en te cambrant davantage, m’offrant le velours de tes parois gonflées. Ils dansent maintenant lentement, découvrant à l’aveugle les contours de ta grotte chaude et humide qui exhale ce parfum entêtant, pendant que ma langue continue son manège sur ton clitoris maintenant fier et pointant avec insolence, le branlant comme une petite queue.
Je sais que tu réclames maintenant ton dû, que tu veux que je me fonde en toi, que nos corps ne fassent qu’un. Comme moi, tu réclames mon miel, ma sève d’homme. Tu gardes tes dernières forces pour happer mon sexe dur au fond de ton ventre, le serrer entre tes parois gonflées de sang. Tu veux sentir les flots chauds et épais frapper tes chairs à vif.
Je retire lentement mes doigts, les lèche avec délectation avant de saisir sans ménagement tes hanches pleines. Tu gémis, tes reins s’immobilisent, m’offrant ton sexe béant, guettant l'instant fugace où tu sentiras le contact de mon gland rond et gonflé, et nous plongeons ensemble dans une danse de l'amour, qui nous conduit ensemble au confins du plaisir. Lorsque nous revenons de cette contrée lointaine, la chaleur des flammes qui dansent dans la cheminée redonne vie à nos corps anéantis, heureux, amoureux, unis...
En prenant connaissance du titre, je ne m'attendais pas à découvrir le chant du désir et la musique du plaisir. Vous dansez merveilleusement sur cet air.
RépondreSupprimerTendres baisers
mmmh, ce récit fait envie ! Votre petit nid d'amour est parfait pour les libertés sensuelles ! J"e suis allé faire une visite sur leur site et je dis =ooooui " parfait pour un week end in love ;-))
RépondreSupprimerbisoux doux et tout bon week end
Choupa