samedi 5 décembre 2009

Pour Sucer

Ne dites jamais à un homme du monde : « Faut-il vous la sucer ? » Ce sont les petites filles des rues qui s’expriment ainsi. Dites tout bas, et à l’oreille : « Voulez-vous ma bouche ? »

Si c’est un monsieur que vous n’avez jamais sucé, ne vous livrez pas à des lècheries savantes tout le long de la pine et derrière les couilles. li aurait mauvaise opinion de votre passé.

Prenez modestement la pine dans la bouche, en baissant les yeux. Sucez lentement. Écartez les dents pour ne pas mordre et serrez les lèvres pour ne pas baver.

Quand le monsieur est sur le point de jouir, ne vous interrompez pas pour lui demander des nouvelles de sa mère, même si vous avez oublié de le faire en son temps.

Si vous êtes couchée avec un monsieur que vous connaissez très bien et que vous faites décharger pour la vingtième fois, vous pouvez alors sans inconvénient lui sucer la peau des couilles et lui fourrer la langue dans le cul par manière de préambule ; mais laissez-lui croire qu’il est le seul à qui vous accordiez ces petites complaisances.

Si le monsieur débande entre vos lèvres, n’en accusez pas la faiblesse de ses moyens, mais votre propre inexpérience.

S’il meurt, commencez par reboutonner son pantalon avant d’appeler la bonne, et ne racontez jamais dans quelles circonstances il a rendu son âme à Dieu...

2 commentaires:

  1. En voilà une question Sultan !!!
    Ce genre de permission requiert il une autorisation préalable ? Une espèce de visa pour la pine lol!
    Peut être existe t il des hommes qui aborrent ce genre de privautés mais je n'en ai jamais connu qui se soient montrés effarouchés... bien au contraire lol!
    Quant au fait de succomber au comble du plaisir je pense que Dieu -s'il existe- a mal achevé son script : la seule manière acceptable de tirer sa révérence devrait coIncider avec ce moment de totale jouissance.. Mourir d'épectase.... certains personnages célébres comme le cardinal Danielou ou bien le président Félix Faure ont dit on bénéficié de cette fin jouissive...
    Et à propos de cette fin de Félix Faure on prête à Georges Clémenceau ce mot d'esprit : " Il a voulu vivre César et il est mort ... Pompée"
    Moi ça me ferait presque croire à la politique !

    Excellent we à vous deux
    Plein de tendres baisers

    Elise
    E&M

    RépondreSupprimer
  2. J'adore ! superbe tant les clichés que la prose !! Merci et surtout continuez, pour notre plus grand plaisir
    La soumise

    RépondreSupprimer