Viens, blanche sur le divan rouge, viens baiser.
Tes pieds se crispent à la sanglante peluche
Ta vulve d’ambre sera la petite ruche
Où le miel de ma mentule ira s’épuiser
Tu cambres les reins ! Cochonne ! Ah ! tu tends le ventre !
Tu veux la douleur profonde et l’humidité
Brûlante du lent coït qui n’a pas juté
Mais qui remonte et s’enfonce, qui sort et rentre.
Me voici donc.
Le divan sourd criera sous nous
Étreins mes reins dans l’étau fort de tes genoux
Accueille en toi mon pénis libidineux, chère,
Et ce sera quelque étreinte à devenir fou
Et ma pine en rut brûlant comme une torchère
Grossira tant que fendre les bords du trou.
Pierre Louÿs, La femme, Poèmes érotiques manuscrits rédigés entre 1889 et 1891
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Un blog très agréable à parcourir que je découvre aujourd'hui au fil des liens...
RépondreSupprimerDe bien belles photos faites pour nous faire fantasmer...
Tiens, je fais une ballade sur les blogs et je viens voir ce que fais mon pervers de Sultan....Ohhhh je ne suis pas déçue, bien au contraire, fidèle à ton style mon cher Sultan, le contraire m'aurait déçue.
RépondreSupprimerJe vais continuer ma croustillante visite...
Au plaisir ;-))
Choupa
superbe et jolie fleur au pétale ouverte et offerte
RépondreSupprimerhum....
bisous