dimanche 20 septembre 2009

Chantier glissant

Hé oui, il ne faut pas toujours croire la presse, fut-elle sur Zigonet...

Qui, en effet, pourrait croire que ces ouvriers, certes surpris par la soudaine intrusion, se sont enfuis avant d'appeler la police !

A-t-on jamais vu un mâle digne de ce nom résister aux appâts de Sultane ?


La réalité est naturellement autre, et je connais au moins un de ces ouvriers qui s'est réjouit de l'aubaine et n'a guère résisté lorsque la coquine s'est attaquée à son ceinturon pour mettre au grand jour ses outils convoités...

En un tour de main, l'objet du désir fut bien vite englouti et des bruits inhabituels pour un chantier montèrent vite entre les échafaudages.

C'était sans compter sur la conscience professionnelle de notre ouvrier, prêt à reprendre le contrôle de la situation.
La belle fut vite retournée et plaquée au plus proche établi, jupe troussée et cul bien haut, et prestement embrochée comme il sied à une telle effrontée.

Sa tâche proprement exécutée, et de peur peut-être de la voir s'enfuir vers d'autres chantiers, le coquin se dit que le meilleur moyen de la garder pour la soif était encore de l'encorder solidement à l'échafaudage, ce qui fut fait avec application.

L'histoire ne dit pas si les autres ouvriers revinrent sur le chantier, et le sort qu'ils auraient alors réservé à cette imprudente donzelle ainsi offerte à toutes les convoitises...

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