Le droit de t'aimer !
Dans la fenêtre discrète hésite la porte discrète.
L'arbre silencieux est entré dans la pièce silencieuse.
Tu es proche comme si tu ne demeurais pas ici.
Dans ma main tu prends la grande fleur :
elle n'est pas blanche, pas bleue, pas rouge – pourtant,
tu la prends.
Où jamais elle ne fut, elle restera toujours.
Nous ne fûmes jamais, nous resterons donc chez elle.
Marc Dupuy
Coucou !
RépondreSupprimerTrès joli texte et j'aime bcp la photo, tu es un as
en montage mon cher !
Bon lundi à toi, sois sage :-))
bisoux d'une blanche colombe...
Choupa
La colombe s’est envolée, mais elle n’oubliera pas de revenir se poser sur sa plus belle branche.
RépondreSupprimerBises.
Muse
j'aime aussi beaucoup le montage :-)
RépondreSupprimerBonne soirée à tous les deux
bisous
Très joli montage plein de douceur, très joli texte aussi qui me renvoient pourtant sur une ambiance nostalgique......
RépondreSupprimerTendres baisers
C'est ma copine Lilou qui trouve cela nostalgique, pas moi ;-))
RépondreSupprimerRavie d'avoir de tes nouvelles, on commençait à s'inquiéter Choup et moi.
Tout tendres bisoux à toi et à ta Sultane
Bonne semaine !
Choupa
Un texte qui rend l'absence terriblement présente...
RépondreSupprimerTexte un peu hermétique que l'on peut appréhender de diverses manières.
La blanche colombe s'est envolée mais l'amour n'est pas forteresse : la fenêtre et la porte restent ouvertes car le coeur et l'amour retrouvent immuablement le chemin du retour au nid.
Baisers tendres à vous deux
Elise
E&M